Elle était à moitié dans les vappes, elle avait toujours le dos qui lui tiraillait autant, lorsque quelqu'un entra dans la pièce. Elle essaya de disserner son visage mais rien à faire, il était dos contre la lumière qui était aveuglante. Une fois les chevilles détachés et l'autre chaîne décroché, elle tomba sur le sol, enfin dans une flaque de sang, de son sang. L'homme la traîna, elle n'arrivait même pas à suivre son rythme et lorsqu'elle tombait il continuait à marcher comme si de rien était, de plus la lumière l'aveuglait, mais elle s'habituait à la longue. Ils arrivèrent dans un laboratoire, elle n'eut pas le temps de voir ce qui était dans cette pièce qu'elle fut attacher contre une table et que ses chevilles et ses poignets furent attaché à des corde de métal qui était relier à des manivelles. Elle entendit les manivelles tournées e même temps que ses membres étaient tendus, ils arrêterent de les tourner que lorsque ses coudes et ses genous furent disloquer. Elle mordait de toutes ses forces dans son baillons pour pas crier. Après elle vit un scientifique avec une énorme seringue, des souvenirs pas très très heureux lui revinrent en tête, elle essaya d'héviter l'aiguille, mais une autre personne lui maintint la tête immobile, le temps que ll'autre injecte le produit dans son cou. On lui retira son casque et ils s,éloignèrent. Un attroce mal de tête l'envahit, elle avait l'impression, en fait ce n'était pas une impression, elle ressentait les sentiments de tout le monde qui était dans l'immeuble. Les scientifiques prirent des notes, les instincteur partirent, ils avaient été régler pour se déclancher à la moindre augmentation de chaleur dans la pièce. Après ce qui semblait une éternité ils lui remirent le casque en hâte, car si ils ne l'auraient aps fait elle aurait mit le feu quant même. Après ils lui plantèrent des aiguilles en métal dans les endroit les plus sensibles du corps et chaque aiguilles étaient relier par un fils électrique à un générateur. Elle eut à peine le temps, de reprendre son souffle, que l'un deux mit le courrant. On pouvait l'entendre hurler de douleur, c,Était comme si on la brûlait, mais de l,intérieur et le temps semblait passé lentement. Elle ne suportait pas cette douleur, elle avait l'impression que chacune de ses cellules déchargeaient une bonne dose d,Électricité. Après au moins 2 heures, proche de 3 ils arrêtèrent, elle avait l'impression qu,il s,était dérouler deux semaines, elle n'arrivait même plus à bouger, ils la ramenèrent dans sa cellule.